Pourquoi mettre l’humour au cœur de votre famille ?

Un chausson sur la tête, une blague de Toto, un chien qui fait Miaou… Les faire rire a plus d’une vertu et, avouez-le, il n’y a rien de meilleur ! Bubble Mag nous dit tout. 

Immense succès comique de tous les jeunes parents : le jeu du caché-coucou. Votre bébé est tellement soulagé de vous voir réapparaître qu’il l’exprime par un grand fou rire. Usez et abusez du procédé : les psys assurent que ce jeu lui permet en plus d’acquérir l’idée de la « permanence de l’objet ».
Au fil des mois, l’enfant apprend le « faire-semblant » et prend conscience qu’on peut détourner un objet de sa fonction. Pour le faire rire, pas la peine de vous creuser les méninges : faites-vous un chapeau avec un bol ou coiffez-vous avec une cuillère… Facile mais efficace !

Autour de 2 ans, l’enfant commence à aimer les incongruités de langage. Il est bon public et il vous suffit d’appeler un lapin « mouton », de changer la prononciation d’un mot, ou d’inverser les personnages de son histoire préférée, pour déclencher une franche rigolade.
En primaire, votre enfant va devenir un peu plus exigeant, et vous devrez revoir vos blagues sous peine de passer pour un ringard. Jeux de mots, second degré, ironie : gare à la concurrence des cours de récréation. Soyez inventif, vous verrez faire le pitre c’est jouissif !

L’humour aide à dédramatiser. Une qualité bien utile pour sa future vie d’adulte !
« Aie, tu t’es fait mal. Bon, je ne vois qu’une chose à faire : appeler les pompiers ou tout couper ».
L’humour renforce la complicité car il repose sur la connivence entre les rieurs.
« Mon chéri, quand tu auras ramassé tous les petits pois, je te ferai des coquillettes parce que c’est meilleur pour la santé. »
L’humour permet de s’ouvrir à la complexité du monde car il joue sur les doubles sens et les faux semblants.
« Les petits pois sont verts ? Mais non, les petits poissons rouges. »

Place à l’absurde : inventez ensemble des histoires à dormir debout !
Surprise et fous rires : l’histoire du début ne ressemble pas à celle de la fin…
Et bien sûr, pour le 1er avril : nos poissons prêts à consommer !