Certaines femmes ne souhaitent pas ou ne peuvent pas prétendre à l’anesthésie péridurale. Cela génère parfois des inquiétudes légitimes : comment feront-elles face à la douleur? L’hypnose est un moyen de combattre la douleur pendant l'accouchement sans péridurale. Comment ça marche ? Que devez-vous savoir sur l’hypnose ? Voici nos conseils et astuces.
La dissociation
L’objectif premier de la préparation à l’accouchement est de vous donner toutes les clés nécessaires afin que vous ne souffriez pas de la douleur lors de votre accouchement. L’essentiel n’est pas de ne pas avoir mal mais de savoir gérer cette douleur, de l’accepter et de s’en servir pour la naissance de votre bébé.
L’hypnose vous permet de prendre de la distance avec votre ressenti corporel afin de concentrer votre énergie non pas sur la douleur mais sur la naissance.
L’hypnose est décrite comme un muscle de l’imagination par les sage-femmes qui pratiquent cette préparation. Votre cerveau vous aide à relativiser. Il faut que la peur de la douleur s’en aille et donne naissance au besoin de douleur : c’est cette douleur qui atteste de la progression du bébé dans l’utérus.
A la rencontre de la maîtrise de soi
Grâce à des images mentales, votre sage-femme va vous apprendre, non pas à vous évader de votre corps car au moment de l’accouchement, vous devez bel et bien être présente, mais à maîtriser cette douleur et votre réaction à la douleur. Ces images, comme un train sortant de la gare, vont vous permettre de détendre certaines parties de votre corps pour en tendre d’autre et ménager un chemin pour votre enfant. La naissance devient alors un enchaînement d’images, comme une sorte de jeu de rôle.
L’apaisement
Ces nombreuses techniques de respiration se trouvent au centre du travail. Le plus important est d’accompagner la naissance de votre bébé. Il est prouvé qu’avec l’hypnose, l’accouchement est accéléré car la mère reste active dans l’accompagnement de son bébé. Stade après stade, les portes s’ouvrent afin que le bébé progresse de manière cohérente. La douleur est alors un mal nécessaire et non plus un frein qui vient sceller la sortie.
L’engagement paternel
Il est très important que le père prenne sa place dans l’accouchement. Il est à la fois la personne qui soutient et celle qui accompagne. En aucun cas, il ne doit rester passif dans la naissance de son propre enfant, même si celui-ci ne sort pas de son corps. C’est à lui de prendre le relais de la sage-femme lorsque celle-ci est absente. Il va devoir prendre tous les cours de préparation à l’accouchement avec la mère, et connaître les techniques de fond et de dernière minute pour concentrer la mère et l’accompagner vers la naissance de son bébé.
Plus une femme va s’entraîner à l’hypnose et plus elle va y être réceptive. C’est ce qui garantit le meilleur résultat le jour de l’accouchement. Toutefois, l’hypnose connaît de très bons résultats même lorsqu’elle est improvisée, par exemple dans le cas d’une maman qui a besoin d’une péridurale mais qui n’y a pas droit.
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La dissociation
L’objectif premier de la préparation à l’accouchement est de vous donner toutes les clés nécessaires afin que vous ne souffriez pas de la douleur lors de votre accouchement. L’essentiel n’est pas de ne pas avoir mal mais de savoir gérer cette douleur, de l’accepter et de s’en servir pour la naissance de votre bébé.
L’hypnose vous permet de prendre de la distance avec votre ressenti corporel afin de concentrer votre énergie non pas sur la douleur mais sur la naissance.
L’hypnose est décrite comme un muscle de l’imagination par les sage-femmes qui pratiquent cette préparation. Votre cerveau vous aide à relativiser. Il faut que la peur de la douleur s’en aille et donne naissance au besoin de douleur : c’est cette douleur qui atteste de la progression du bébé dans l’utérus.
A la rencontre de la maîtrise de soi
Grâce à des images mentales, votre sage-femme va vous apprendre, non pas à vous évader de votre corps car au moment de l’accouchement, vous devez bel et bien être présente, mais à maîtriser cette douleur et votre réaction à la douleur. Ces images, comme un train sortant de la gare, vont vous permettre de détendre certaines parties de votre corps pour en tendre d’autre et ménager un chemin pour votre enfant. La naissance devient alors un enchaînement d’images, comme une sorte de jeu de rôle.
L’apaisement
Ces nombreuses techniques de respiration se trouvent au centre du travail. Le plus important est d’accompagner la naissance de votre bébé. Il est prouvé qu’avec l’hypnose, l’accouchement est accéléré car la mère reste active dans l’accompagnement de son bébé. Stade après stade, les portes s’ouvrent afin que le bébé progresse de manière cohérente. La douleur est alors un mal nécessaire et non plus un frein qui vient sceller la sortie.
L’engagement paternel
Il est très important que le père prenne sa place dans l’accouchement. Il est à la fois la personne qui soutient et celle qui accompagne. En aucun cas, il ne doit rester passif dans la naissance de son propre enfant, même si celui-ci ne sort pas de son corps. C’est à lui de prendre le relais de la sage-femme lorsque celle-ci est absente. Il va devoir prendre tous les cours de préparation à l’accouchement avec la mère, et connaître les techniques de fond et de dernière minute pour concentrer la mère et l’accompagner vers la naissance de son bébé.
Plus une femme va s’entraîner à l’hypnose et plus elle va y être réceptive. C’est ce qui garantit le meilleur résultat le jour de l’accouchement. Toutefois, l’hypnose connaît de très bons résultats même lorsqu’elle est improvisée, par exemple dans le cas d’une maman qui a besoin d’une péridurale mais qui n’y a pas droit.
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